Carl Zimmerman, Landmarks – Robin Metcalfe, The Aesthetics of Power

[Hiver 2001-2002]

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Résumé
Les photographies monochromes de Carl Zimmerman semblent documenter de grands bâtiments industriels et institutionnels datant de la première moitié du vingtième siècle, et qui sont aujourd’hui abandonnés et marqués par l’usure du temps. Il explore une esthétique architecturale utopiste avec un dosage d’humour, de nostalgie et de déconstruction critique. En fait, l’artiste réalise ses photographies à partir de maquettes qu’il construit dans son petit atelier du Cap-Breton. Dans sa série Lost Hamilton Landmarks, exposée la première fois en 1997, il développait en couleur du film noir et blanc sans autre manipulation, qu’elle soit numérique ou en chambre noire. Dans sa récente série, Landmarks of Industrial Britain, Zimmerman est passé à l’impression à jet d’encre à grande échelle et au montage numérique.