Marisa Portolese, Belle de jour – Dayna McLeod, Tattooed innocence with post-punk appeal

[Été 2002]

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Résumé
Marisa Portolese recourt à l’histoire de la peinture et de la photographie pour confronter nos notions de la beauté, de la représentation féminine et du portrait. Elle inscrit ses sujets dans des chambres d’hôtel, de riches décors de boudoir et de luxuriantes scènes extérieures, en référence à la peinture classique et de la Renaissance, à la photographie érotique du début du xxe siècle, aux pin-up des années 50, au cinéma et à la publicité de mode. Portolese crée ainsi des portraits de boudoir post-féministes dans lesquels le sujet est en plein con­trôle de son identité érotique et pétrifie le « regard masculin » d’un œil provocant et direct.