[Hiver 2023]
Par Sylvain Campeau
Maison des arts de Laval
01.05.2022 — 03.07.2022
[Extrait]
Depuis quelque dix ans, tel que pouvaient tout de même l’annoncer des travaux antérieurs, Manon Labrecque produit des machines de vision et d’animation assez singulières. De celles dont le mouvement des images est apparent, formant en cela une cinégénie, selon le beau mot de Dominique Païni, assez inédite. Elle l’a fait en 2012, au centre Vu à Québec, dans le cadre de la Manif d’art, avec Les antigravitationnels, puis, à Saint-Hyacinthe au centre Expression en 2016, avec L’Origine d’un mouvement. En ces deux occasions, les machines créées recelaient des composantes assez évidentes de mécanismes connus et référaient plutôt clairement au mouvement des photogrammes, minuscules images dont tout film était composé, et au rétroprojecteur qu’on retrouvait en version partielle ou totale dans ses œuvres…
[ Numéro complet, en version papier et numérique, disponible ici : Ciel variable 122 – RONDES DE NUIT ]
[ L’article complet et plus d’images, en version numérique, sont disponibles ici : Manon Labrecque, des [ré] animations — Sylvain Campeau