Ciel variable 58 - PORTRAITS ET NUS | Éditoriaux
Auteurs : Jacques Doyon
[Été 2002] par Jacques Doyon Evergon, Marisa Portolese, Olivier Christinat… Voilà trois manières bien différentes de présenter le corps féminin. Ainsi juxtaposées, elles font se rencontrer et se confronter à la fois la beauté et la vieillesse, l’attirance et le maintien à distance, l’affirmation de soi et l’abandon au regard de l’autre. Nues ou en […]
[Été 2002]
Portfolios : EVERGON, MARISA PORTOLESE, OLIVER CHRISTINAT.
Actualités : No Man’s Land: The Photographs of Lynne Cohen, Emmanuelle Léonard.
Lectures: Martha Langford, Suspended Conversations: The Afterlife of Memory in Photographic Albums, Dominique Baqué, Mauvais genre(s), Livres reçus.
Auteurs : Jacques Doyon, Alain Laframboise, Dayna McLeod, Lyne Crevier, Johanna Mizgala, Anite de Carvalho, Cheryl Simon, Jacques Doyon.
Ciel variable 58 - PORTRAITS ET NUS | Portfolios
Auteurs : Alain Laframboise | Artistes : Evergon
[Été 2002] Evergon livre ici au spectateur, avec simplicité et respect, le corps nu de sa mère âgée. Preuve d’une situation qui a existé entre elle et lui. Puis il reprend la pose de sa mère « en Olympia », les constituant ainsi tous les deux en couple œdipien.La photographie, condamnée au singulier, si elle […]
Ciel variable 58 - PORTRAITS ET NUS | Portfolios
Auteurs : Dayna McLeod | Artistes : Marisa Portolese
[Été 2002] Cet article a été à l’origine uniquement publié en anglais. Vous pouvez le lire en consultant la version anglaise de cette page. Résumé Marisa Portolese recourt à l’histoire de la peinture et de la photographie pour confronter nos notions de la beauté, de la représentation féminine et du portrait. Elle inscrit ses sujets […]
Ciel variable 58 - PORTRAITS ET NUS | Portfolios
Auteurs : Lyne Crevier | Artistes : Olivier Christinat
[Été 2002] Les mises en scène épurées d’Olivier Christinat s’attachent à des portraits ou à des nus de jeunes femmes en une sorte de huis clos entre artiste et modèle qui outrepasseraient les limites de la pudeur. À distance cependant du strict souci de plaire, Christinat neutralise l’érotisme par le biais de son regard ascétique […]
Ciel variable 58 - PORTRAITS ET NUS | Critiques d'expositions
Auteurs : Johanna Mizgala | Artistes : Lynne Cohen
[Été 2002] Cet article a été à l’origine uniquement publié en anglais. Vous pouvez le lire en consultant la version anglaise de cette page. National Gallery of Canada February 1 to May 12, 2002 Résumé Cet essai explore différents aspects du travail de la photographe Lynne Cohen, en effectuant un parcours de sa récente rétrospective […]
Ciel variable 58 - PORTRAITS ET NUS | Critiques d'expositions
Auteurs : Anite de Carvalho | Artistes : Emmanuelle Léonard
[Été 2002] Dans le cadre de l’exposition La vie en temps réel. Mode ralenti. Espace Vox, du 22 mars au 26 mai 2002 Les pratiques artistiques participatives des années soixante et soixante-dix ont donné naissance à des projets de création où l’artiste s’entourait de multiples collaborateurs pour la réalisation de son projet, tout en demeurant au cœur […]
Ciel variable 58 - PORTRAITS ET NUS | Recensions de publications
Auteurs : Cheryl Simon
[Été 2002] Cet article a été à l’origine uniquement publié en anglais. Vous pouvez le lire en consultant la version anglaise de cette page. Montreal & Kingston: McGill-Queen’s University Press, 2001, 241 p.
Ciel variable 58 - PORTRAITS ET NUS | Recensions de publications
Auteurs : Jacques Doyon
[Été 2002] Éditions du Regard, Paris, 2002, 200 p., 100 illustrations L’ouvrage s’ouvre sur une image, celle dite du Supplice des cent morceaux, montrant le découpage à vif d’un condamné chinois ; image qui a fasciné Georges Bataille toute sa vie et constitue une illustration de sa définition de l’érotisme, soit « une approbation de […]
Ciel variable 58 - PORTRAITS ET NUS | Recensions de publications
Auteurs : Jacques Doyon | Artistes : Mireille Loup, Raymonde April
[Été 2002] Marc Trivier, Le paradis perdu Yves Gevaert éditeur et le Casino Luxembourg – Forum d’art contemporain, Bruxelles, 2001, 192 p. Voici un ouvrage déroutant et stimulant tout à la fois. Il s’ouvre sur l’évocation d’une image qui a marqué Marc Trivier, celle d’un enfant, survivant des camps, fixant la caméra de son regard – « Est-ce ce […]